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Giant Robo 5

Lecteur audio

Bonsoir et bienvenue dans cet épisode de ça n’intéresse que nous sur RVR, une chronique qui entend proposer lors de chaque volet un survol du vaste éventail des musiques de dessin animé et jeu vidéo avant tout nippon, suivant un support, un compositeur ou un thème par épisode.

Aujourd’hui, cinquième des non pas huit mais peut-être bien dix chroniques sur une série aussi monumentale qu’exceptionnelle : Giant Robo, avec un premier épisode sur la musique du quatrième épisode de la série.

Et oui, au final on va rallonger le temps dédié au travail formidable du compositeur Masamichi Amano sur cette incroyable série de Robots géants et de protagonistes  à pouvoir qu’est Giant Robo, notamment parce que dans l’épisode 4 il y a cette piste, Gengaku Shijuusou – Gouketsutachi no Tasogare, Quatuor à cordes – Le crépuscule des héros qu’elle fait 12 minutes et 21 secondes, soit pas loin de la durée habituelle des chroniques de CNIQN, et qu’entre son charme hypnotique, sa filiation pastiche, me semble t’il, avec une belle pièce du répertoire italien, la sonate pour violon en sol mineur, dite Sonate des Trilles du Diable, œuvre créée au début du 18eme par le compositeur Guiseppe Tartini, le contraste intimiste avec les pistes tonitruantes de la grande majorité de la bande originale, l’habillage subtil offert entre autres pour les scènes de complot entre super vilains, et enfin le fait que CNIQN est avant tout guidée par la joie d’exister, il n’y avait aucune raison valable de s’épargner au final son écoute intégrale…

Le crépuscule des héros, une composition de Masamichi Amano pour le quatrième épisode de la série de 1992 Giant Robo, avec à la réalisation, Yasuhiro Imagawa.

Voilà, pour cette cinquième chronique consacrée aux musiques colossales de la gigantesque série Giant Robo version 1992.

Il me reste à remercier Philippe à la technique, Léa et Alexiel Bibine pour les extraits sonores, l’ami Teddy pour les traductions, ainsi que le magazine Animeland pour son encyclopédie exhaustive des animés, indispensable support technique pour la réalisation de ces épisodes.

Et maintenant… quelque chose dont on est pas non plus prêt de voir le bout, c’est le travail particulier des larrons incontrôlables qui se sont chargés du doublage de la série Ken le Survivant, vous connaissez la suite…

Pour écouter la chronique initiale sur RVR, cliquez ici.

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