Les Tueurs
Un gag en deux planches qui inaugure, avec mon brave ninja, un acteur que j’essaierai de placer le plus souvent possible dans mes futurs projets: L’Oldsmobile Toronado 1966!
Un gag en une planche sur le thème des tueurs à gage, idée développée sur l’impulsion de mon pote Cédric Fernandez, stoppée en plein élan sur le fait que cela était déjà traité dans la série L’Effaceur aux éditions Delcourt…Du reste j’avais storyboardé une dizaine de gags qui viendront peut être grossir les rangs de Celledevison.com parce que, quand même hein, c’était vachement plaisant à faire…
Niemand Saga
« Ouaiiiis làààà vas-y fais moi une histoire de 30 pages genre mangasse » me demande un jour mon ami stakhanoviste sieur Sarujin… allez hop au bout de quelques temps lui pond-je cette histoire un peu légère (Son axe principal pouvant s’approcher d’une parodie de toute histoire dans laquelle le mot « Prophétie » tient une place trop importante…) mais qui ne demandera qu’à s’approfondir, si demande il y a.
RECIT COMPLET
On ne fait jamais assez d’histoires dans le désert! Non seulement c’est un terrain propre aux plus beaux récits épiques, mais surtout qu’est ce que ça peut être facile à dessiner! (du moins en story board héhé), du coup face aux délais brefs qui m’étaient imposés (et que j’ai tout de même largement dépassés…) je voulais une histoire se déroulant dans ces lieux magiques.
J’ai ensuite rajouté deux éléments riches en possibilités, tout d’abord un héros copyright « Nekketsu » (genre de héros nippon très codifié dont les plus fiers représentant sont Songoku, Narutal ou encore Luffy, voir l’article en rapport sur Wikipédia tiens ) puis des machineries antiques megalomaniaques inspirées de l’univers sublime des jeux Panzer Dragoon de l’éditeur de jeux vidéos Sega.
Au fait si vous traduisez le mot allemand Niemand, vous obtenez un sérieux indice pour déceler dans cette histoire un clin d’oeil à l’un des films préférés de Sarujin et moi-même…
La Chasseuse
Pour lire:
Pour feuilleter aléatoirement
Maintenant que je me rappelle, l’essentiel de l’histoire devait expliquer la lente transformation de la fille en son ennemi; acceptation puis incompréhension puis colère puis dédain puis inhumanité croissante devaient se succéder dans son introspection crépusculaire…Du reste je n’ai jamais pris le temps de développer l’idée, alors, pour les pages ci-dessus où je devais tout rendre très vite je suis allé directement à la métamorphose en créature nocturne; privant le scénario de sa partie principale, à défaut d’essentielle…
Au départ le condamné était un homme, ce qui était je pense, une erreur que je fais souvent en début d’écriture: Je suis un homme blanc donc si je ne me pose pas la question mon personnage principal sera un homme blanc…Le fait d’en avoir fait une ado me semble être un plus.
Un vieuuuux bidule ça! Pré-21ème siècle, sorte de compte rendu d’un voyage scolaire à Verdun, remerciement à l’ami Thev pour l’exhumation de ces vestiges d’entre les vieilles bombes dormantes!
Ça date de quand ce truc? Collège, Lycée?